L'éducation nationale va finir par conduire ma femme à l'asile
C'est un ras le bol ! Une saturation ! Les injustices s'accumulent ! On souffle le chaud et le froid, mais rien n'est résolu depuis la lettre de Gilles de Robien aucun contact avec le ministère. La seule chose faite (avec de petites erreurs) c'est la reconstitution de carrière et la récupération des salaires. Mais pour les frais occasionnés par la décision de 2001 (tribunal administratif ) - RIEN - procédure contre Jack Lang - RIEN - procédure contre la décision de l'inspection académique - RIEN - procédure au conseil d'état - RIEN - Évaluation des frais engendrés par la situation, 2 logements, plusieurs déménagements etc. pretium doloris - RIEN -
Ci-dessous copie de la lettre que j'ai adressée à Maître Cochet
Cher Maître,
L’attitude
de l’Éducation Nationale ne laissant pratiquement que la possibilité de
reprendre son poste à l’école de Bucquoy puisqu’il n’y a eu aucun contact du
Ministère pouvant faire espérer que les intentions du Ministre Gilles de Robien
soient suivies d’effets.
Le Ministre
avait dit « rétablissement dans ses droits et réparation du préjudice
moral et financier » à ce jour aucun écrit ne confirme cette chose en
chiffres.
Donc il ne
restait qu’une solution, peu humaine, la reprise du poste. Les préparatifs pour
ce chemin de croix étaient faits mais la santé physique et morale empêche cette
reprise du travail. Les jours qui précédent ont vu les choses s’aggraver et il
a fallu se rendre à l’évidence et consulter un médecin qui a prescrit un arrêt
de travail.
C’est à
nouveau 6 ans après le calvaire qui recommence. Aussi je tenais à porter de
suite cette chose à votre connaissance. Et vous demande d’intervenir pour
solutionner au plus tôt cette situation inhumaine.
Le
harcèlement de l’administration voulant connaître la décision de mon épouse
sans que d’autre part les choses soient finalisées ressemble à un poker menteur
et est peu digne du mal qui a été provoqué, la lettre que je vous ai fait
parvenir datée du 31 août en est une nouvelle preuve.
En vous
remerciant de votre intervention auprès du Ministère et de l’Inspection
Académique, je vous prie de croire, Maître, à l’assurance de toute ma
considération.
Alain
Hodique