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MATHAL
4 septembre 2007

L'éducation nationale va finir par conduire ma femme à l'asile

C'est un ras le bol ! Une saturation ! Les injustices s'accumulent ! On souffle le chaud et le froid, mais rien n'est résolu depuis la lettre de Gilles de Robien aucun contact avec le ministère. La seule chose faite (avec de petites erreurs) c'est la reconstitution de carrière et la récupération des salaires. Mais pour les frais occasionnés par la décision de 2001 (tribunal administratif ) - RIEN - procédure contre Jack Lang - RIEN - procédure contre la décision de l'inspection académique - RIEN - procédure au conseil d'état - RIEN - Évaluation des frais engendrés par la situation, 2 logements, plusieurs déménagements etc. pretium doloris - RIEN -

Ci-dessous copie de la lettre que j'ai adressée à Maître Cochet

Cher Maître, 

 L’attitude de l’Éducation Nationale ne laissant pratiquement que la possibilité de reprendre son poste à l’école de Bucquoy puisqu’il n’y a eu aucun contact du Ministère pouvant faire espérer que les intentions du Ministre Gilles de Robien soient suivies d’effets.

 Le Ministre avait dit « rétablissement dans ses droits et réparation du préjudice moral et financier » à ce jour aucun écrit ne confirme cette chose en chiffres. 

 Donc il ne restait qu’une solution, peu humaine, la reprise du poste. Les préparatifs pour ce chemin de croix étaient faits mais la santé physique et morale empêche cette reprise du travail. Les jours qui précédent ont vu les choses s’aggraver et il a fallu se rendre à l’évidence et consulter un médecin qui a prescrit un arrêt de travail. 

 C’est à nouveau 6 ans après le calvaire qui recommence. Aussi je tenais à porter de suite cette chose à votre connaissance. Et vous demande d’intervenir pour solutionner au plus tôt cette situation inhumaine. 

 Le harcèlement de l’administration voulant connaître la décision de mon épouse sans que d’autre part les choses soient finalisées ressemble à un poker menteur et est peu digne du mal qui a été provoqué, la lettre que je vous ai fait parvenir datée du 31 août en est une nouvelle preuve. 

 En vous remerciant de votre intervention auprès du Ministère et de l’Inspection Académique, je vous prie de croire, Maître, à l’assurance de toute ma considération. 

 Alain Hodique    


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