Jack Lang, de bois par Georges Moréas
Georges Moréas - Romancier, Scénariste ou coscénariste, Comédien dans une série télévisée (Enquêtes Privées), Commissaire principal honoraire de la Police Nationale. consacre l'une de ses publication à notre histoire; sous le titre "Jack Lang, de bois" pour retrouver cette page voici le lien : c'est > ICI
D'autres affaires d'autres dossiers sont sur ce blog, un conseil "allez le visiter !"
Après la lettre des excuses de Jack Lang voici le lien pour lire la nouvelle pulication de Georges Moréas pour retrouver cette page c'est > ICI et le titre de l'article est : La pénitence de Lang
Quelques mots en réponse aux commentaires ci dessous :
En remerciant ceux qui ont laissé un commentaire, je voudrais préciser : on ne demande pas à la justice une procédure ou une autre.
ON N'A PAS LE CHOIX !
En plus il est facile devant son écran de se mettre à ma place. Maintenant je ne le souhaite à personne.
Dans mon cas ce NON LIEU me donne entière satisfaction car ce n'est pas l'idée simple (non-lieu (= absence de preuves)) mais impossibilité des choses, c'est ce qui résulte du dossier ; mais sur le blog c'est le résumé du résumé.
Le non lieu après 380 jours de prison prouve que rien ne permettait à la justice de se débarrasser de mon dossier aux assises afin de faire prendre la décision par un jury populaire car il est bien connu qu'aucun magistrat ne veut signer un papier prouvant une erreur judiciaire. En plus le jury lui se base sur son intime conviction et aucune procédure ne pourra empêcher à quelques uns de penser "il n'y a pas de fumée sans feu"
Si plus de 5 ans 1/2 de procédure dans une vie n'est pas moralement et physiquement assez long et douloureux pour certains qu'ils me jettent la première pierre.Mais, moi à ce jour, je ne demande qu'une chose laisser ce cauchemar derrière moi.
Si pour vous le verre est à moitié vide pour moi il est à moitié plein de toute manière ma préférence aurait été au verre plein, mais là non plus je n'ai pas eu le choix.
Je n'ai pas indiqué la partie financière, pensez y !
Amicalement Alain Hodique